Vapeur
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- Locomotives vapeur à essieux libres
- Locomotives vapeur à deux essieux couplés
- Locomotives vapeur à trois essieux couplés
- Locomotives vapeur à quatre essieux couplés
- Locomotives vapeur à cinq essieux couplés
- Locomotives vapeur pour voie étroite
Numérotation des locomotives
De 1845 à 1870 environ, les locomotives étaient numérotées en suivant à peu près un ordre numérique. Avec le développement du parc, il fallut trouver une méthode plus rationnelle : toutes les machines comportant au moins deux essieux couplés eurent leur numéro précédé d'un chiffre avec un point, indiquant le nombre de leurs essieux moteurs. Pour une Outrance 2.821 par exemple, cette numérotation se lisait deux, huit cent vingt et un, et non pas, deux mille huit cent vingt et un.
Ce système continuera jusqu'à la formation de la SNCF. En 1938, il conduira, pour les machines à 3 ou 4 essieux couplés en grand nombre, à avoir des numéros à 5 chiffres, par exemple les Pacific 3.1151 à 3.1170.