27 janvier 1886 Fives : Différence entre versions
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Le 27 janvier 1886, la machine du train 188 Calais – Lille – Bruxelles déraille à l’approche de la gare de Lille (voyageurs) vers 14h30. L’accident, mal expliqué, est dû au déraillement de l’essieu avant. La machine dans son élan heurte les pattes de lièvre d’une bretelle de communication entre les deux voies principales. Déséquilibrée, la machine finit par chuter du talus, 4 mètres plus bas, à hauteur du ruisseau de Chaude Rivière dans le secteur des anciens fossés inondés des fortifications de la ville. L’accident a lieu à faible vitesse, le mécanicien ayant eu le temps d’actionner le frein continu. Il est le seul blessé (fracture simple à la cuisse). | Le 27 janvier 1886, la machine du train 188 Calais – Lille – Bruxelles déraille à l’approche de la gare de Lille (voyageurs) vers 14h30. L’accident, mal expliqué, est dû au déraillement de l’essieu avant. La machine dans son élan heurte les pattes de lièvre d’une bretelle de communication entre les deux voies principales. Déséquilibrée, la machine finit par chuter du talus, 4 mètres plus bas, à hauteur du ruisseau de Chaude Rivière dans le secteur des anciens fossés inondés des fortifications de la ville. L’accident a lieu à faible vitesse, le mécanicien ayant eu le temps d’actionner le frein continu. Il est le seul blessé (fracture simple à la cuisse). | ||
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| − | *Consultez le numéro 10 de la revue "Rails d'Autrefois", publiée par le CHRF, pour une étude détaillée sur le délicat relevage de la locomotive dirigé par M. Du Bousquet en personne. | + | *Consultez le numéro 10 de la revue <b><font color="red">"Rails d'Autrefois"</b></font>, publiée par le CHRF, pour une étude détaillée sur le délicat relevage de la locomotive dirigé par M. Du Bousquet en personne. |
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Circonstances de l’accident
Le 27 janvier 1886, la machine du train 188 Calais – Lille – Bruxelles déraille à l’approche de la gare de Lille (voyageurs) vers 14h30. L’accident, mal expliqué, est dû au déraillement de l’essieu avant. La machine dans son élan heurte les pattes de lièvre d’une bretelle de communication entre les deux voies principales. Déséquilibrée, la machine finit par chuter du talus, 4 mètres plus bas, à hauteur du ruisseau de Chaude Rivière dans le secteur des anciens fossés inondés des fortifications de la ville. L’accident a lieu à faible vitesse, le mécanicien ayant eu le temps d’actionner le frein continu. Il est le seul blessé (fracture simple à la cuisse).
Pour approfondir le sujet :
- Consultez le numéro 10 de la revue "Rails d'Autrefois", publiée par le CHRF, pour une étude détaillée sur le délicat relevage de la locomotive dirigé par M. Du Bousquet en personne.
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Photos et cartes postales
Les photos du relevage, d'origine Nord, proviennent de la collection CHRF
Croquis et plans
Les croquis et plans proviennent de la RGCF de septembre 1886, où l'Ingénieur traction G. du Bousquet décrit les travaux de relevage effectués
