Vapeur : Différence entre versions
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| − | + | ==Numérotation des locomotives== | |
| + | De 1845 à 1870 environ, les locomotives étaient numérotées en suivant à peu près un ordre numérique. Avec le développement du parc, il fallut trouver une méthode plus rationnelle : toutes les machines comportant au moins deux essieux couplés eurent leur numéro précédé d'un chiffre avec un point, indiquant le nombre de leurs essieux moteurs. Pour une Outrance 2.821 par exemple, cette numérotation se lisait deux, huit cent vingt et un, et non pas, deux mille huit cent vingt et un. | ||
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| + | Ce système continuera jusqu'à la formation de la SNCF. En 1938, il conduira, pour les machines à 3 ou 4 essieux couplés en grand nombre, à avoir des numéros à 5 chiffres, par exemple les Pacific 3.1151 à 3.1170. | ||
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| + | ==Peinture des locomotives== | ||
| + | Originairement, les locomotives du Nord étaient peintes en vert et noir avec filets rouges, les cuivreries diverses (encadrement de baies, plaque de numéro, cercles de la chaudière) étaient polies. | ||
| + | La traverse avant était peinte en rouge, avec le numéro de la machine peint en blanc, ainsi que la mention "Nord" sur la cabine en lettre blanches. | ||
| + | Lors de l'apparition des compound, celles-ci furent peintes en marron ton chaud, avec filets jaunes, ce qui leur valut l'appellation de "chocolat", les numéros ou la mention "Nord" étaient peints en jaune, et les cercles de laiton de chaudière soulignés par deux filets jaunes. Plus tard, à partir des machines 3500, le numéro était indiqué par des chiffres en cupro apposés sur la cabine, les couvre-roues, le cas échéant sur la traverse avant, avec le macaron "Nord" en cupro également sur le centre de la boite à fumée. L'indication du dépôt était en lettres blanches ou jaunes. | ||
| − | + | Les locomotives de la Ceinture étaient peintes comme les machines à simple expansion du Nord, en noir et vert avec inscriptions blanches. | |
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| − | + | ==[[Articles concernant les locomotives à vapeur parus dans les revues avant 1938]]== | |
Version actuelle datée du 8 juin 2023 à 10:31
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Classement par nombre d'essieux moteurs
- Locomotives vapeur à essieux libres
- Locomotives vapeur à deux essieux couplés
- Locomotives vapeur à trois essieux couplés
- Locomotives vapeur à quatre essieux couplés
- Locomotives vapeur à cinq essieux couplés
Classement par type
- Locomotives vapeur Voyageurs et grande vitesse
- Locomotives vapeur Mixtes
- Locomotives vapeur Marchandises
Numérotation des locomotives
De 1845 à 1870 environ, les locomotives étaient numérotées en suivant à peu près un ordre numérique. Avec le développement du parc, il fallut trouver une méthode plus rationnelle : toutes les machines comportant au moins deux essieux couplés eurent leur numéro précédé d'un chiffre avec un point, indiquant le nombre de leurs essieux moteurs. Pour une Outrance 2.821 par exemple, cette numérotation se lisait deux, huit cent vingt et un, et non pas, deux mille huit cent vingt et un.
Ce système continuera jusqu'à la formation de la SNCF. En 1938, il conduira, pour les machines à 3 ou 4 essieux couplés en grand nombre, à avoir des numéros à 5 chiffres, par exemple les Pacific 3.1151 à 3.1170.
Peinture des locomotives
Originairement, les locomotives du Nord étaient peintes en vert et noir avec filets rouges, les cuivreries diverses (encadrement de baies, plaque de numéro, cercles de la chaudière) étaient polies. La traverse avant était peinte en rouge, avec le numéro de la machine peint en blanc, ainsi que la mention "Nord" sur la cabine en lettre blanches.
Lors de l'apparition des compound, celles-ci furent peintes en marron ton chaud, avec filets jaunes, ce qui leur valut l'appellation de "chocolat", les numéros ou la mention "Nord" étaient peints en jaune, et les cercles de laiton de chaudière soulignés par deux filets jaunes. Plus tard, à partir des machines 3500, le numéro était indiqué par des chiffres en cupro apposés sur la cabine, les couvre-roues, le cas échéant sur la traverse avant, avec le macaron "Nord" en cupro également sur le centre de la boite à fumée. L'indication du dépôt était en lettres blanches ou jaunes.
Les locomotives de la Ceinture étaient peintes comme les machines à simple expansion du Nord, en noir et vert avec inscriptions blanches.
